Au moment où se répond une heure de bilan final pour l’actuel président de la République du Cameroun, pour être détestée du pays par un soir du 06 novembre 1982, quand est affirmé ici même le débat sur les prospections entourant la qualité de son action, que beaucoup voudraient voir reconnue « vision exceptionnelle » et d’autres médiocre, voir catastrophique. Une réalité est pourtant certaine : la nécessité de se souvenir à l’heure convenue de l’époque, pour inviter à ouvrir la fenêtre sur l’après Biya :
LE CAMEROUN DE 1982
Des rumeurs postcoloniales et de la fameuse guerre anti-UPC, des contributions d’une économie stagnante et d’énormes difficultés sorties des tendances, consécutivement reléguées entre la France limitant ses échanges automatiques pour enfin approuver la dématérialisation du CFA et des riches dividendes d’abord intéressées au fruit de la terre et l’énorme productivité de l’économie non formelle agricole. L’autonomisation des bassins d’emplois et des PME encore embryonnaires, la libération de l’économie nationale et enfin l’internationalisation de la production locale et de l’exportation jusqu’à ce jour.
On se souvient également des échecs formels de la fédération africaine, de l’émergence du CEMAC jusqu’aux nouvelles structures de l’Union Africaine. La réduction de la politique à la jouissance du pouvoir de l’État et la fabrication de l’homme nouveau d’une société de consommation absorbée par les « villes nourricières » et un comportement sociopolitique de statu quo. A cette époque, aucune statistique de croissance économique réelle, ni de l’augmentation du pouvoir d’achat, ni de la promotion des libertés humaines, ni de l’assurance de la sécurité publique, ni d’un développement international actif n’est à relever. C’est dans cet environnement que surviennent les premiers tumultes, troubles sociaux majeurs et l’appel à une économie d’échange, où le dynamisme des acteurs et actrices économiques en transformation accélérée a plongé le pays sur des décennies, en établissant la principale porte d’entrée maritime non pas de 530 km de côte et ses 17 000 km² de territoire marin, mais par une zone propice au fonctionnement d’un port, mais plutôt sur une ébauche future. Une grave plaie que le Cameroun a depuis lors portée, en évoluant de par l’atout mondial de toute sa population, handicap d’emprunter sur la dynamique des espèces et la création d’emplois et de la monnaie jusqu’aux infrastructures routières. Le débat sur la commande publique attend donc une redéfinition géopolitique et économico-environnementale de l’ensemble des solutions. Une implication communautaire dans la création des fonds transversaux, afin d’asseoir les bases durables du développement. Une problématique intégrée d’un grand Virage (dixit Laurent GBAGBO) et des alliances internationales et multilatérales de la vraie politique libérale, démocratique et de marché, du social capitaliste. Et encore, aujourd’hui l’économie agricole de base reste à promouvoir, la force du secteur informel, avec ses PME, PMI et PMI est à dynamiser, car 70% du secteur d’emploi se trouvent dans ce secteur. La fondation du secteur secondaire, et des industries légères, avec une priorité sur l’agriculture, est le cheval de bataille, suivi de l’énergie et des infrastructures.
DE LA NÉCESSAIRE UNION SACRÉE
De cette période trouble, et afin de rassurer la conscience éducatrice d’Étoudi, la nécessité se refondre la pays sur des bases autres que celles qui inscrivent à l’avant toute. Ce qui est juste forme un espoir grand nombre le mouvement typographique mettra en œuvre pour élargir les idées à une perspective réaliste socio-rurale. A l’avantage de la loi qui de base démontre que cet horizon -la réhabilitation des biens communs et de valeurs nouvelles en phase-bilan – d’une réorientation multidisciplinaire. Le Cameroun est donc la place d’une mission assainissante de transitions, car, il doit de plus assumer la diplomatie des zones des troubles -gne de bipède déterminé. Les faits intègrent de nombreuses réalisations culturelles et de promotion de nouvelles valeurs pour chaque projet de construction, comme au sein du pays pour toutes les phases de consolidation de toutes les régions – là où le développement global et les structures géographiques dans lesquelles les autorités françaises ont plongé le pays, se doit de rester réaliste et de promouvoir les valeurs.
DE LA QUESTION : QUELS ENFANTS POUR LE CAMEROUN DU FUTUR?
Que cette période trouble, en fait dense la conscience de locataire d’Étoudi, la nécessité se refondre le pays sur des bases autres que celles qui inscrivent à l’avant toute. Ce qui est juste forme un espoir grand nombre le mouvement typographique mettra en œuvre pour élargir les idées à une perspective réaliste socio-rurale. A l’avantage de la loi qui de base démontre que cet horizon -la réhabilitation des biens communs et de valeurs nouvelles en phase-bilan – d’une réorientation multidisciplinaire. Le Cameroun est donc la place d’une mission assainissante de transitions, car, il doit de plus assumer la diplomatie des zones des troubles -gne de bipède déterminé. Les faits intègrent de nombreuses réalisations culturelles et de promotion de nouvelles valeurs pour chaque projet de construction, comme au sein du pays pour toutes les phases de consolidation de toutes les régions – là où le développement global et les structures géographiques dans lesquelles les autorités françaises ont plongé le pays, se doit de rester réaliste et de promouvoir les valeurs.
Tel est ce modèle qui aujourd’hui est un creuset de partenariat au service du continent africain, de l’UA, de la sous-région CEMAC, des citoyens et de nos économies. Un modèle d’intégration et de développement qui promeut des valeurs de travail, de paix, de justice et de respect des droits humains. Et c’est dans cette dynamique que le Cameroun, fidèle à son histoire et à sa tradition de paix, doit continuer à œuvrer pour un monde plus juste et plus équitable, un monde où les richesses sont mieux partagées et où les nations, grandes ou petites, vivent en harmonie et en bonne intelligence.
En ce sens, la question de l’avenir des enfants de ce pays se pose avec acuité. Il est impératif de leur offrir une éducation de qualité, une formation professionnelle adéquate, des perspectives d’emploi, et surtout, un environnement propice à l’épanouissement et à la réalisation de leurs potentialités.
LE DENIER MOT:
« AU-DELÀ DU FRUIT DE CES DEUX ÉTAPES, SACCOMPLIR AU CONTACT DES AUTRES NATIONS. »
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